À Palme d’Or, nous achetons le maïs directement auprès des agriculteurs locaux. Cette démarche nous permet de soutenir l’agriculture locale en offrant aux producteurs un débouché pour leurs récoltes.
La farine de maïs issue de cette production n’est pas destinée à la vente en magasin ni à la consommation locale. Elle est exclusivement envoyée au PAM pour des usages spécifiques.

Des contrôles sans faille, de la semence au produit fini Chez Palme d’Or, le contrôle du maïs commence avant même le semis. Afin de garantir que les semences n’ont pas été manipulées génétiquement, nous n’achetons que des semences certifiées et procédons ensuite à des contrôles aléatoires pour vérifier leur pureté.

Nous évitons également les mauvaises surprises dès le départ en sélectionnant uniquement des variétés présentant des caractéristiques de croissance particulières et une résistance à la sécheresse ainsi qu’aux maladies.

En parallèle de cette sélection, nous effectuons régulièrement diverses mesures d’entretien pour garantir des plantes en bonne santé.
Cela inclut une fertilisation adéquate pendant les phases de croissance.

Quant à la récolte, elle est effectuée avec précision afin d’obtenir la meilleure qualité possible, grâce à des machines modernes utilisées par des professionnels formés à cet effet. Des contrôles rigoureux jusqu’à la farine Les grains de maïs sont ensuite séchés sur une flamme indirecte pour éliminer tout résidu. Enfin, le maïs est broyé selon les normes les plus strictes dans nos propres moulins à maïs certifiés.


Il a ainsi fait l’objet de contrôles rigoureux, depuis la sélection des semences jusqu’à la production de farine. Après ces nombreuses étapes de vérification, les grains de maïs peuvent être utilisés dans la confection de nos délicieux produits. Notre maïserie, fournie par Golfetto (Italie), dispose d’une capacité de broyage de 60 tonnes de maïs par jour, soit environ 24 000 tonnes par an. Cependant, la production reste limitée par le manque de matières premières locales (maïs), et la farine de maïs n’est pas encore consommée de manière significative.